Recherche judilibre

Date
Comment utiliser Judilibre ?
Ma recherche concerne

Vous devez être connecté pour enregistrer une recherche.

10000 résultat(s) - 1000 page(s)

26 mars 2024 - Cour de cassation - Pourvoi n° 23-80.795

Lire la décision complète

Publié au Bulletin

Chambre criminelle - Formation de section

Cassation

ASSURANCE - assureur appelé en garantie - juridictions pénales - intervention ou mise en cause - recevabilité - poursuites pour homicide ou blessures involontaires

L'assureur appelé à garantir le dommage n'est admis à intervenir et ne peut être mis en cause devant la juridiction répressive, afin que la décision concernant les intérêts civils lui soit déclarée opposable, que lorsque des poursuites pénales sont exercées pour des faits d'homicide involontaire ou de blessures involontaires, qu'elle soit entrée en voie de condamnation de ces chefs ou qu'elle ait constaté sur appel des seules parties civiles une faute civile du prévenu définitivement relaxé, démontrée à partir et dans la limite des faits objet de cette poursuite

20 mars 2024 - Cour de cassation - Pourvoi n° 23-84.012

Lire la décision complète

Publié au Bulletin - Publié aux Lettres de chambre

Chambre criminelle - Formation restreinte hors RNSM/NA

Cassation

JURIDICTIONS DE L'APPLICATION DES PEINES - peines - peine privative de liberté - réduction de peine - crédit de réduction de peine - retrait - appel - appel du seul condamné - retrait d'une durée supérieure à celle fixée par le juge de l'application des peines - impossibilité

Les dispositions réglementaires de l'article D. 49-41-2 du code de procédure pénale qui permettent au président de la chambre de l'application des peines, sur le seul appel du condamné et sur réquisition du procureur général, d'ordonner un retrait de crédit de réduction de peine d'une durée plus importante que celle fixée par le juge de l'application des peines, ne peuvent l'autoriser à déroger à la règle, de nature législative, de l'interdiction d'aggraver le sort de l'appelant sur son seul appel

20 mars 2024 - Cour de cassation - Pourvoi n° 23-80.886

Lire la décision complète

Publié au Bulletin

Chambre criminelle - Formation de section

Rejet

PEINES - suivi socio-judiciaire - prononcé - avertissements - défaut - portée

Les articles 131-36-1 et 131-36-4 du code pénal ne prévoient pas que la délivrance des avertissements qu'ils prescrivent s'impose à peine de nullité de la décision sur la peine. N'encourt dès lors pas la cassation l'arrêt dont il ne résulte pas qu'aient été délivrés au condamné les avertissements prévus par ces textes

19 mars 2024 - Cour de cassation - Pourvoi n° 23-85.748

Lire la décision complète

Publié au Bulletin

Chambre criminelle - Formation restreinte hors RNSM/NA

Rejet

CASSATION - pourvoi - mémoire - mémoire personnel - notion - support des moyens - cas - demandeur non condamné pénalement - lettre - irrecevabilité

Selon l'article 584 du code de procédure pénale, le demandeur en cassation, soit en faisant sa déclaration, soit dans les dix jours suivants, peut déposer, au greffe de la juridiction qui a rendu la décision attaquée, un mémoire, signé par lui, contenant ses moyens de cassation, dont le greffier lui délivre reçu. Dès lors, le mémoire du demandeur, non condamné pénalement, qui n'a pas été déposé au greffe de la juridiction mais lui a été adressé par courrier est irrecevable et ne saisit pas la Cour de cassation des moyens qu'il contient, sauf au demandeur à justifier s'être trouvé, en raison d'une circonstance indépendante de sa volonté, dans l'impossibilité absolue de se conformer aux exigences dudit article

19 mars 2024 - Cour de cassation - Pourvoi n° 23-81.792

Lire la décision complète

Publié au Bulletin

Chambre criminelle - Formation restreinte hors RNSM/NA

Cassation

ACTION CIVILE - partie civile - citation directe - recevabilité - conditions - personne physique - justification de ressources - nécessité (non)

Il se déduit de l'article 392-1 du code de procédure pénale que, contrairement à celle délivrée à la requête d'une personne morale à but lucratif, la citation délivrée à la requête d'une personne physique ne peut être déclarée irrecevable au seul motif que cette dernière n'a pas produit de justificatifs permettant de déterminer le montant de la consignation. Dans ce cas, il appartient au tribunal correctionnel de fixer ce montant au regard des éléments de procédure et des éventuelles pièces produites. Encourt ainsi la censure l'arrêt qui, pour déclarer irrecevables les citations adressées à la requête des parties civiles, énonce que ces dernières, personnes physiques, non bénéficiaires de l'aide juridictionnelle, n'ont pas, comme elles le devaient, justifié de leurs ressources, la simple déclaration orale faite par leur avocat selon laquelle elles pourraient faire face à des amendes civiles de 15 000 euros ne pouvant se substituer aux exigences légales

19 mars 2024 - Cour de cassation - Pourvoi n° 23-87.320

Lire la décision complète

Publié au Bulletin

Chambre criminelle - Formation restreinte

Rejet

13 mars 2024 - Cour de cassation - Pourvoi n° 22-83.689

Lire la décision complète

Publié au Bulletin

Chambre criminelle - Formation de section

Cassation

ABUS DE CONFIANCE

L'abus de confiance peut porter sur des fonds, valeurs ou biens quelconques, en ce compris un immeuble, remis à titre précaire. S'analyse en un détournement entrant dans le champ de l'article 314-1 du code pénal, l'usage abusif de l'immeuble portant atteinte de façon irrémédiable à son utilité et traduisant la volonté manifeste de l'auteur de se comporter, même momentanément, comme un propriétaire

6 mars 2024 - Cour de cassation - Pourvoi n° 22-80.895

Lire la décision complète

Publié au Bulletin

Chambre criminelle - Formation restreinte

Cassation

6 mars 2024 - Cour de cassation - Pourvoi n° 23-80.543

Lire la décision complète

Publié au Bulletin

Chambre criminelle - Formation restreinte

Rejet

6 mars 2024 - Cour de cassation - Pourvoi n° 23-87.046

Lire la décision complète

Publié au Bulletin

Chambre criminelle - Formation restreinte hors RNSM/NA

Rejet

TERRORISME - lois et règlements - application dans l'espace - crimes et délits commis à l'étranger - résidence habituelle de l'auteur en france - appréciation - moment de la fixation de la résidence habituelle - indifférence

Par application des dispositions de l'article 113-13 du code pénal, la loi pénale française s'applique à la personne de nationalité étrangère ayant fixé sa résidence habituelle en France, peu important que la fixation de cette résidence soit ou non antérieure à la commission, à l'étranger, d'actes de terrorisme

Vous devez être connecté pour gérer vos abonnements.

Vous devez être connecté pour ajouter cette page à vos favoris.

Vous devez être connecté pour ajouter une note.